Prenez votre santé en main afin de réaliser pleinement la mission que Dieu vous a confiée.
Oui, le principe de vie : la vie de la chair est dans le sang.
Introduction
Quel élément est fondamental à toute vie, tant physique que spirituelle ? Le sang !
Sans sang, notre corps physique mourrait ; sans le sang du Christ, notre corps spirituel mourrait.
Lévitique 17:11a : La vie de la chair est dans le sang.
Les Écritures expliquent l’importance fondamentale du sang.
Veuillez lire Genèse 9:1-5 (défiler vers le bas).
Dans ce passage, Noé a traversé le déluge sain et sauf. Dieu lui a donné de nouvelles instructions. Auparavant, les humains n’avaient pas été autorisés à manger de la viande ; maintenant, Dieu leur permet de manger de la chair animale.
Cependant, il y a une mise en garde : ils ne peuvent pas manger de la chair qui contient encore son sang. Ou, comme le dit la New American Standard Version : « Tu ne mangeras pas de chair avec son âme, c’est-à-dire son sang. »
Pas seulement un symbole
Le sang n’est pas seulement un symbole de vie et de mort, mais il est la vie de la chair.
Le principe du sang était si important pour Dieu qu’il a institué la peine de mort contre quiconque ôtait la vie à un autre être humain. Cette peine de mort s’appliquait aux humains et aux animaux.
Dans l’Ancien Testament, Dieu jugeait les hommes et les animaux qui ôtaient la vie à autrui. L’exigence était leur propre sang.
Avant la Loi mosaïque
Il est important de noter que cette peine de mort et ce principe du sang ont été institués avant la Loi mosaïque. De plus, leur origine remonte à avant le déluge.
Nous voyons d’abord, dans le jardin, un sacrifice animal nécessaire pour couvrir la nudité d’Adam et Ève (ce qui traite de la vie spirituelle de l’homme). Plus loin, dans Genèse 4, nous voyons les deux premiers meurtres relatés dans l’histoire.
Caïn tue d'abord son frère Abel, son propre sacrifice n'étant pas acceptable aux yeux de Dieu. Caïn sait, avant même la loi écrite, que son sang lui sera réclamé pour son acte. Mais Dieu lui témoigne sa miséricorde et le marque d'une marque afin que personne ne le tue. Ensuite, Lémec tue un jeune homme et, conscient du châtiment, tente de profiter de la miséricorde divine envers Caïn. Comme le dit Matthew Henry : « Il semble abuser de la patience de Dieu en épargnant Caïn, pour l'encourager à espérer qu'il pèchera impuni. » L'idée est que Lémec, tout comme Caïn avant lui, comprend qu'il y a un châtiment pour le meurtre.
Lire Lévitique 17:10-14 (défiler vers le bas pour lire ce passage)
Nous découvrons ici une compréhension encore plus profonde de l'importance du sang pour Dieu.
No comments:
Post a Comment